Honnêtement, cela faisait longtemps que je voulais écrire cet article. Le sujet est délicat. Je parle ici en tant qu’athlète avec plus de 15 ans d’entraînement et en tant que coach ayant suivi des dizaines de sportifs, y compris des compétiteurs. En tant que coach, je teste toujours sur moi-même avant de recommander. Et l’un des composés que j’ai testé en profondeur, c’est le Turinabol. Franchement ? Ça valait le coup. Mais allons-y étape par étape.
Dans cet article, je vais aborder :
- pourquoi et pour qui le Turinabol peut être utile ;
- quels effets il produit réellement dans le corps (pas sur le papier, mais dans la vraie vie) ;
- ce que montre la pratique – la mienne et celle de mes athlètes ;
- à quoi ressemble un cycle réaliste et efficace ;
- et enfin — si cela en vaut vraiment la peine.
Si tu envisages le Tbol — prends ton temps. Lis, réfléchis, puis décide.
Qu’est-ce que le Turinabol et d’où vient-il ?
J’ai entendu le mot « Turinabol » pour la première fois il y a une dizaine d’années. Un ancien dans les vestiaires m’a glissé : « Tu veux du muscle sec — pas de rétention d’eau ? Essaie le Tbol. » J’étais au début de ma carrière de compétition, et cette phrase m’a marqué. Ensuite, ça a été la routine : recherches, forums, discussions avec les anciens. Et j’ai compris que ce n’était pas un mythe de salle — c’est un produit avec un vrai pedigree.
Scientifiquement, le Turinabol est connu sous le nom de chlorodéhydrométhyltestostérone — également appelé déhydrochlorométhyltestostérone ou 4-chlorométhandiénone. Son nom IUPAC est 4-chloro-17β-hydroxy-17α-méthylandrosta-1,4-diène-3-one. Il fait partie de la classe des androgènes et stéroïdes anabolisants et s’administre par voie orale. Sa formule chimique est C₂₀H₂₇ClO₂ et sa masse molaire est de 334,88 g/mol. Il présente une bonne biodisponibilité, est métabolisé par le foie, a une demi-vie d’environ 16 heures et est excrété principalement par l’urine.
Pharmacologiquement, c’est un anabolisant oral à activité androgénique modérée, conçu pour offrir un effet anabolique équilibré sans surcharge hormonale excessive. Concrètement : pas de pics d’œstrogènes, pas de gonflement, pas de « ventre ballon ». Les gains sont secs, propres et durables – comme si tu avais fait une sèche bien propre mais que tu te sens toujours fort et plein.
Le Turinabol a été développé dans les années 60 en Allemagne de l’Est par Jenapharm, une société pharmaceutique qui voulait donner un avantage compétitif aux athlètes est-allemands. Et au vu de leurs résultats olympiques – ça a fonctionné. À l’époque, il était prescrit officiellement pour améliorer la force, l’endurance et la récupération – ce n’était pas un produit underground. C’était une initiative soutenue par l’État. Imagine : un gouvernement finançant la recherche pharmacologique uniquement pour la performance sportive.
Côté légalité, la chlorodéhydrométhyltestostérone est aujourd’hui contrôlée dans plusieurs pays : Classe C au Royaume-Uni, Schedule III aux États-Unis, Classe C5 (stéroïdes anabolisants) au Brésil. Son usage hors encadrement médical est interdit, mais il reste un sujet d’étude intéressant dans le monde du sport et de la physiologie.
Fait curieux : dans les années 90, après la chute de l’Allemagne de l’Est, le Turinabol a disparu. Plus en pharmacie, plus mentionné. Puis — boom — retour en force. Pas seulement chez les utilisateurs « assistés », mais aussi chez certains « naturels » en quête d’un petit coup de pouce pendant la préparation.
Aujourd’hui, le Turinabol est revenu dans le game. Certes, il n’a pas la hype de la testostérone ou du tren. Mais il a un style propre — une précision à l’allemande : sec, efficace, sans drame. Si tu sais l’utiliser — il tient ses promesses.
Comment fonctionne le Turinabol : force, masse sèche et sensations réelles
Je ne parle pas en l’air de « prise de masse ». Soyons clairs. Le Turinabol ne va pas te gonfler en deux semaines comme du dianabol – mais tu ne vas pas non plus t’effondrer après. Il s’agit d’un progrès constant et propre, notamment en force et en densité musculaire.
Je l’ai utilisé hors saison comme en préparation — et dans les deux cas, il agit de façon prévisible, dans le bon sens. Dès la première semaine, tu sens un « clic » : la barre bouge plus facilement, la prise est plus forte, la fatigue post-entraînement est plus légère. C’est l’effet androgène — sans la rage alpha que la testo ou le tren peuvent déclencher.
Voici ce que le Turinabol apporte de façon réaliste :
- Augmentation de la force – surtout sur les mouvements de base avec charges modérées (développé couché, tractions, rowings).
- Densité musculaire – pas d’eau, un aspect dur et plein, peau tendue, veines apparentes rapidement.
- Récupération plus rapide – meilleur sommeil, moins de courbatures, meilleure récup entre les séries.
- Appétit stable – pas de ballonnement, pas de fringales, la diète reste propre et régulière.
Et un truc en plus — une concentration plus nette pendant l’entraînement. Comme si le cerveau connectait plus vite au muscle. Si tu as déjà bossé le mind-muscle connection — tu vois. C’est subjectif, mais je l’ai constaté chez moi et chez d’autres.
Et le gros point fort : aucune aromatisation. Pas besoin de gérer l’œstradiol, ni d’inhibiteurs, ni de flipper que les tétons grattent au bout de deux semaines. Le Turinabol, c’est un cycle sans gynecomastie — rien que ça, c’est déjà un plus énorme.
Certains diront que les effets manquent de « punch ». Peut-être. Ce n’est pas un feu d’artifice — mais il n’y a pas non plus de crash. Ce que tu construis — tu le gardes. Lentement mais sûrement.
Où trouver du Turinabol ?
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Comment l’utiliser : dosage, durée, combinaisons
Dosages recommandés
J’ai testé plusieurs protocoles. J’ai commencé léger — 20 mg/jour en deux prises. Franchement ? Trop faible. Aucun effet notable. À 40 mg — ça a pris. Le sweet spot pour la plupart est entre 30 et 50 mg par jour.
| Niveau | Dosage | Remarques |
|---|---|---|
| Débutant | 20–30 mg/jour | Peu d’effets secondaires, impact modéré |
| Intermédiaire | 40 mg/jour | Bon équilibre entre efficacité et sécurité |
| Avancé | 50–60 mg/jour | Résultats solides, support hépatique nécessaire |
Fractionne la dose en 2 à 3 prises par jour – demi-vie d’environ 16 h, donc un taux stable est essentiel. Matin – midi – pré-training, ça passe bien.
Durée de cycle
Minimum six semaines, huit idéal. Au-delà — trop stressant pour le foie. Même si ce n’est pas le plus toxique des oraux, utilise un protecteur hépatique. Perso, je prends l’UDCA dès la première semaine et je continue un mois post-cycle.
